Pendule Reveil Ancienne
Débats Désormais, il ne suffit plus d'être en bonne santé, il faut aussi préserver et entretenir son "capital santé". Désormais, il ne suffit plus d'être en bonne santé, il faut aussi préserver et entretenir son"capital santé". Manger équilibré, limiter le sucre, les graisses, le sel, faire de l'exercice physique, ne pas fumer, boire très peu d'alcool, pratiquer des dépistages réguliers (mammographie, frottis, etc. ), surveiller son taux de cholestérol. Nous sommes tous de potentiels malades. Le champ de la médecine prédictive et préventive ne cesse de se développer. "Dans notre société, la préservation du capital santé s'impose comme une valeur ultime", a résumé le sociologue et philosophe Gilles Lipovetsky lors des Entretiens intitulés "La santé d'âge en âge" qui se sont tenus mardi 28 novembre à Paris. Nous vivons finalement un immense paradoxe. D'un côté, la santé a désormais largement débordé le cadre de la maladie et du colloque patient-médecin pour s'immiscer - parfois jusqu'à l'obsession - dans les modes de vie et de consommation, de l'autre, l'obésité et son cortège de maladies associées, diabète, hypertension, insuffisance cardiaque... poursuivent leur inexorable progression dans une société où l'offre alimentaire est devenue de plus en plus énergétique et le style de vie de plus en plus sédentaire.
La santé au travail est un enjeu collectif, et surtout un enjeu global, selon Guillaume Soenen, professeur associé de management et titulaire de la Chaire APICIL Santé et Performance au Travail à emlyon business school "Capital santé et performance collective". Autant d'arguments développés lors d'une conférence proposée le 30 mai par Acteurs de l'économie-La Tribune, en association avec MBTP, APICIL, emlyon business school et la Fondation du BTP lors du salon Preventica. Morceaux choisis. (Crédits: Laurent Cerino/ADE) D'après une définition de l'Organisation mondiale de la Santé, le capital santé repose tout à la fois sur la santé physique, la santé mentale et la santé sociale. Soit ce postulat de départ: un individu en bonne santé est un individu plus performant au travail. Dès lors, une entreprise dont les salariés sont en bonne santé sera plus performante. "Or, ce postulat, d'apparence évidente, n'a jamais été quantifié avec des méthodes scientifiques incontestables. Il échappe à toute démonstration systématique", établit d'emblée Guillaume Soenen, professeur associé de management et titulaire de la Chaire APICIL Santé et Performance au Travail à emlyon business school.
Etrange compte à rebours. Etre aujourd'hui en bonne santé ne suffit donc plus, ce serait là folie de panier percé et oeuvre de piètre trésorier. Il nous faut prévoir les conséquences, anticiper les conjonctures défavorables (qui vous dit que vous n'avez pas une pathologie héréditaire? ) garantir les placements, pour s'assurer à long terme de la non apparition de risques futurs... De quoi se rendre malade. Car contre le vieillissement et la mort - quels mots vulgaires - l'apport grandissant de nouveaux capitaux, pour assainir et doper nos misérables bilans de santé morale et physique, finit par frôler l'OPA sur notre corps par les labos pharmaceutiques, les coachs en tous genres et les organismes d'assurance. Certains capital-risqueurs seraient tentés de ne voir là qu'amusante et anecdotique tendance, continuant à multiplier les comportements dangereux, pratiquant un épicurisme irresponsable et négligeant toute épargne. Mais attention. Au rythme où vont les choses, la vie à crédit pourrait bien être stigmatisée comme péché mortel.
Tous secteurs d'activité confondus, au plan national les accidents liés aux déplacements pour des raisons professionnelles sont la 1ère cause d'accidents mortels au travail les Troubles Musculo Squelettiques (TMS) représentent la 1ère cause de maladie professionnelle. Dans un cas comme dans l'autre, les atteintes à la personne engendrent absentéisme, arrêts de travail, restrictions médicales voire inaptitudes qui ont des conséquences lourdes tant humaines qu'économiques. Les conférences qui sont venues clôrent les 8èmes Journées Départementales Prévention Santé Sécurité ont choisi de traité cette problématique en 1ère partie.
Le capital patient (en anglais: patient capital) est une théorie économique sur l' investissement qui trouve son origine dans la recherche académique anglo-saxonne. On lui trouve des liens avec les notions d'investissement philanthropiques green investment, ou le love money, bien que le capital patient ne peut être réduit à cet aspect qui n'est que l'application du concept à un domaine. Par essence la notion de capital patient tend à sortir de la dynamique d'investissement la notion de spéculation financière. Elle est orientée vers la création de valeur et l'accompagnement de la croissance — d'un secteur ou d'une économique — par l' innovation. Bien que le capital patient puisse être considéré comme un instrument d'investissement traditionnel, il a pris un nouvel élan avec l'essor des entreprises écologiquement et socialement responsables. Structurer par une pensée théorique, il peut prendre la forme de fonds propres, de dette, de garanties de prêt ou d'autres instruments financiers. Définition [ modifier | modifier le code] Souvent utilisée comme une notion faisant rapport à l'humanitaire ou aux dons caritatifs, le capital patient, peut être considéré plus largement comme modèle d'investissement basé sur le temps long et accompagnant le développement économique, en recentrant la finance sur son but de création de valeur réelle.
Selon l' OMS (l'Organisation mondiale de la Santé), la définition de la santé est: La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité Extrait de la Constitution de l'Organisation Mondiale de la Santé Cette définition de la santé est écrite noir sur blanc dans le préambule de la constitution de l'OMS. Cette définition de la santé selon l'OMS a été adoptée en 1946 à New York puis est entrée en vigueur en 1948 et depuis, elle n'a pas changé!! Préambule complet de l'Organisation mondiale de la santé! Vous trouverez ci-dessous le préambule complet de la constitution de l'OMS: il parle de santé, du rôle des états, des inégalités, du développement de l'enfant… Source: cette photo provient du site de l'OMS, elle provient de sa constitution, vous pouvez l'enregistrer et/ou la transformer en pdf. Besoin d'une mutuelle de santé? À retenir sur la vision de la santé de la part de l'OMS: La santé comprend le bien-être physique, le mental et le social.
Avant toutes prises, demandez l'avis de votre médecin traitant ou de votre pharmacien. Sources: - Antioxidant supplements for prevention of mortality in healthy participants and patients with various diseases – Mars 2012 – Revue Cochrane, Bjelakovic G - Suppléments antioxydants et mortalité – Janvier 2014 – Clinical Nutrition and Metabolic Care Merci à Marie-Laure André, diététicienne-nutritionniste.